Karine Bissonnette est candidate au doctorat en littératures de langue française à l'Université de Montréal. Dans le cadre de ses recherches doctorales, financées par le CRSH, elle se penche sur la poétique de l'énumération et de ses formes apparentées dans l'autobiographique français à l'ère du numérique, principalement chez François Bon, Éric Chevillard et Philippe Didion. Depuis ses études de maîtrise, lesquelles portaient sur l'imbrication de l'écriture et de la photographie dans Les années d'Annie Ernaux, elle s'intéresse à l'enjeu de la documentation et de la transmission à autrui ainsi qu'aux questions reliées à la trace et à la mémoire.